L’aéroport de Guilin est doté d’un immense hall. Il y a deux
restaurants de standing, des stands de produits touristiques au milieu
(cartes, modèles réduits, magazines…) au fond se trouvent des
fauteuils de massage.
L’ambiance de l’aeroport est soviétique. L’ennui se lit sur les visages des employés pléthoriques tirés à 4 épingles. Les deux restaurants sont vides, tout comme les boutiques et les fauteuils. Il y a 3 préposés pour 16 fauteuils massants.
Le nettoyage est d’une efficacité redoutable: un homme laisse tomber un plastique de manière désinvolte au milieu du hall, moins de 30 seconde après, un nettoyeur le met dans une poubelle. À peine ai-je posé une bouteille en plastique et la pose en attendant de la mettre à la poubelle, qu’une nettoyeuse surgit de nulle part pour la mettre à la poubelle.
Pour chaque toilette, il y a un employé commis à son nettoyage permanent.
Tout comme l’entretien des rues (pots de fleur), le gouvernement semble fournir en grand nombre ce genre d’emplois.
Au moins le service est très efficace.
L’ambiance de l’aeroport est soviétique. L’ennui se lit sur les visages des employés pléthoriques tirés à 4 épingles. Les deux restaurants sont vides, tout comme les boutiques et les fauteuils. Il y a 3 préposés pour 16 fauteuils massants.
Le nettoyage est d’une efficacité redoutable: un homme laisse tomber un plastique de manière désinvolte au milieu du hall, moins de 30 seconde après, un nettoyeur le met dans une poubelle. À peine ai-je posé une bouteille en plastique et la pose en attendant de la mettre à la poubelle, qu’une nettoyeuse surgit de nulle part pour la mettre à la poubelle.
Pour chaque toilette, il y a un employé commis à son nettoyage permanent.
Tout comme l’entretien des rues (pots de fleur), le gouvernement semble fournir en grand nombre ce genre d’emplois.
Au moins le service est très efficace.
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